• Un matin au réveil la même sensation desagréable de ne pas être heureuse. La veille au soir les larmes avaient coulées devant une scène banale pas triste, pas tendre, pas sensationnelle en gros. Sur le moment, pas de surprise et peu après la réaction habituelle: " merde mais qu'est ce tu fais, pas très maline ma fille!"... peu après " mais qu'est ce t'as à chialer comme ça pour rien?!". Comme une habitude bien calculé j'ai décidé que le lendemain ça irais mieux. Mais ce matin même sensation que la veille, et à bien y réfléchir que les jourss précédent, qu'est ce que je dois en penser. Une dépression , déjà vu, déjà vécu. L'ennui, peut être mais sensation différente. Et puis, le mot est apparu: desespoir. C'est pas très glorieu, me souviens plus si c'est déjà arrivé mais ça laisse plus de vide que le reste. Première réaction, allumer l'écran et avaler les conneries prédigérées de l'écran. Après, le besoin biologique et physiologique de la faim, manger. Le regard encore devant l'écran, le froid. Mais rien ne suffit à combler ce froid, lapsus. Le portable vibre, formidable invention et en même temps si oppressante le monde est habitué à une réponse quasi - immédiate, me sens oppressée, je ne décroche pas. Texto, "oublies pas on bouf ensemble ce soir!". Pourquoi d'ailleurs? Pas envis de voir quelqu'un, ma meilleure amie. Mon mec," je passe j'ai besoin de ton ordi, je t'aime" ah bon? Pourquoi? Au bout de 4 ans, le désir est devenue une habitude, l'envie un de ces besoins biologiques, le sexe agréable et assez souvent plus. Penser à respirer, le reste une force inconnue s'en occupe, parfois l'envi de contrôler son corps est forte, l'envie de faire soi-même battre son coeur est désarmante. Les larmes aussi ont moins de valeurs elles sont plus inattendues et finalement c'est le moment où on leurs prettent le moins de valeurs.


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires